Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Monastère franciscain à Nice.

monastère \mɔ.nas.tɛʁ\ linô kôlï

  1. da tî âmûâne
    • Le démon, au contraire, a envoyé dans les cloîtres des monastères la faim et la soif d’entendre les paroles des hommes et les bruits du monde, en sorte qu’occupés d’un vain parlage, nous repoussions d’autant plus la parole divine, […]. — (Lettres complètes d’Abélard et d’Héloïse, Lettre VIII, traduction de Octave Gréard, Garnier, 1875, page 274 )
    • Wary de Dommartin la rebâtit ; d’abord bénédictin au monastère de Saint-Epvre à Toul, puis prieur de Varangéville il céda ensuite son prieuré, moyennant redevance, à Jean de Nicolinis ; […]. — (Gustave FraipontLes Vosges , 1895, éd. 1923)
    • La vermine des catacombes s’épanouissait lentement au soleil ; les couvents et monastères champignonnaient, rongeant le sol gaulois comme une lèpre hideuse. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 84)
    • L’Église a besoin de ces jardins de Dieu que sont les monastères contemplatifs, qui donnent à la terre une prise d’air sur le ciel. — (Maurice ZundelSilence, parole de vie , transcription d’une retraite donnée en 1959, éditions Anne Sigier, 1990, lêmbëtï 164)
    • Avant que la Chine n’envahisse le Tibet en 1950, plusieurs centaines de milliers de moines (et de nonnes) vivaient dans quelque 6000 monastères. — (Louis Dubé, « La sagesse du dalaï-lama : Préceptes et pratique du bouddhisme tibétain » na Le Québec sceptique , été 2008, n° 66, lêmbëtï 5)

Âlïndïpa Sepe