Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ 1

Sepe

montagnard \mɔ̃.ta.ɲaʁ\

  1. (Sêndâsêse)hötö
    • J'imagine que le pessimisme grec provient de tribus pauvres, guerrières et monta­gnardes, qui avaient un énorme orgueil aristocratique, mais dont la situation était par contre fort médiocre. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , 1908, lêmbëtï 15)
    • L’endémisme est particulièrement développé dans trois sortes de flores : les flores isolées, les flores montagnardes, les flores insulaires. — (Henri GaussenGéographie des Plantes , Armand Colin, 1933, lêmbëtï 68)

Pandôo 1

Sepe

montagnard \mɔ̃.ta.ɲaʁ\ linô kôlï

Pandôo 2

Sepe

montagnard \mɔ̃.ta.ɲaʁ\ linô kôlï

  1. (Sêndâsêse, Gîgî) wahötö
    • Oui, voici que les paysans riches et enviés d'aujourd'hui, ce sont justement les montagnards; ceux-ci, lorsqu'ils festoient, n'hésitent plus à faire sauter le bouchon d'une bouteille au « cou doré ». — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Le « sous-off » Coutard […] s'agace: « Les curés obligeaient les montagnards viets à porter des vestes et leurs femmes des soutifs, c'était n'importe quoi. Habillés, ils avaient l'air barbare, de loquedus. » — (Arnaud Vaulerin, Coutard l'Asiate , dans Libération (journal), bïkua-okü 5 Nabändüru 2010, lêmbëtï 37)

Âlïndïpa

Sepe