Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Moustiquaire au-dessus d'un lit.

moustiquaire \mus.ti.kɛʁ\ linô gâlï

  1. mustikëre, gbânda-ngungu
    • Au-dessus du lit, un voile de tulle retombait en brouillard exactement de trois côtés ; de petits cordonnets, semblables aux ris d’une voile, le relevaient par-devant dans une courbe gracieuse. Fleurissoire reconnut là ce qu’on appelle : moustiquaire – dont il avait toujours dédaigné d’user. — (André GideLes Caves du Vatican , 1914)
    • Quand il partit, à six heures du matin, il crut voir une forme se dessiner derrière la moustiquaire des Bodet. — (Georges SimenonLe Blanc à lunettes , 1937, Gallimard, chapitre I)
    • Ces voyages étaient de véritables aventures et il convenait chaque fois de se préparer au pire en emportant pelles, haches, machettes, crics, tire-forts et surtout les inévitables « caisse-popote », « lit-picot » et moustiquaires, sans oublier un ou deux manœuvres. — (Bernard Le Doux, O Tangani , Liv’éditions, 1994)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï