Bâa ngâ : nenuphar

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Fleur de nénuphar jaune.

nénuphar \ne.ny.faʁ\ linô kôlï

  1. (Sêndâsên, Bangë) kpôngubü, kpûngubü; Âmângbi tî pöpöködörö: Nymphaea lotus (Nymphaeaceae)
    • Tandis que le courant du milieu entraîne vers la mer les cadavres des pins et des chênes, on voit sur les deux courants latéraux remonter le long des rivages, des îles flottantes de pistia et de nénuphar, dont les roses jaunes s’élèvent comme de petits pavillons. — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • La Thève bruissait à notre gauche, laissant à ses coudes des remous d’eau stagnante où s’épanouissaient les nénuphars jaunes et blancs […]. — (Gérard de Nerval, « Les Filles du feu » na Sylvie , 1854)
    • On coupa des baguettes et l’on chercha des perches légères, mais aucune ne se trouva être assez grande pour atteindre la grenouille, qui bâillait toujours, la gueule ouverte, sur sa feuille de nénuphar. — (« Un sauvetage » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Ils étaient parvenus sur le bord d’une immense pièce d’eau. Vers leur droite elle fuyait à perte de vue, de place en place ornée de nénuphars et de nymphéas, parmi lesquels s’élevaient des oiseaux gris et lumineux dans les premières lueurs du jour. — (André DhôtelLe Pays où l’on n’arrive jamais , 1955)
    • Cet étang que tu avais vu sur un tableau, bordé de joncs, couvert de nénuphars — (Nathalie SarrauteEnfance , Gallimard, 1983, collection Folio.)

Âkpalêtôngbi

Sepe

Âlïndïpa

Sepe