Bâa ngâ : naña, nanäa

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

nana \na.na\ linô gâlï

  1. (Mbumbuse) (Farânzi) ndümbä
    • La jeune comédienne le constate : « Les mecs de mon âge, même les plus vieux, même surtout les plus vieux d’ailleurs, ils ont peur de nanas comme moi ! Enfin des nanas de notre génération […] — (Janine Mossuz-Lavau et Anne de Kervasdoué, Les femmes ne sont pas des hommes comme les autres , Odile Jacob, 1997, lêmbëtï 61)
    • Et je suis une nana. Et les nanas sentent des choses que les mecs ne peuvent pas sentir. Elle a un autre homme et elle ne te l’avouera jamais. — (Jérôme Descombes, Maryline, jusqu’à la lie , L’Harmattan, 2011, lêmbëtï 142)
    • Il était avec un cageot je ne te raconte pas. Une nana immonde. Même coincé sur une île déserte avec un thon pareil, je préférerais me taper une chèvre!— (Isabelle BrèsConfessions d'un productueur , Les Éditions du Net, 2012, chapitre 13)
    • Il savourait sa connardise. Il détestait les gamins. Il les traitait de larves. Il avait quatre nanas en même temps. Aucune n’était au courant pour les trois autres. — (Marisha PesslIntérieur nuit , gbïänngö tî Clément Baude, Éditions Gallimard, 2015)
    • Oui, le timide n’a jamais osé danser, du coup, il a eu le temps d’affûter son sens de la répartie pendant que ses petits camarades galochaient des nanas au look douteux et au maquillage ringard. — (Pandora Reggiani, L'histoire d'amour dont vous êtes le héros , Michalon Éditeur, 2014, lêmbëtï 18)
    • Elle lui a bouffé son fric, la p’tite nana — (Charles TrenetTout est au duc , 1936)

Âlïndïpa

Sepe