Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

neveu \nə.vø\ linô kôlï

  1. (Sêndâsû, Ngbêne) tarä
    1. (Könöngö) halë
      • Nos neveux, nos derniers neveux, nos arrière-neveux.
      • Et j'espère que nos neveux me sauront gré, non seulement des choses que j'ai ici expliquées, mais aussi de celles que j'ai omises volontairement, afin de leur laisser le plaisir de les inventer.— (René DescartesLa géométrie , 1637)
      • Vous m’avez comblé d’honneur en m’appelant à vous ; mais la gloire n’est un bien qu’autant qu’on en est digne, et je ne me persuade pas que quelques essais écrits sans art et sans autre ornement que celui de la nature soient des titres suffisants pour oser prendre place parmi les maîtres de l’art, parmi les hommes éminents qui représentent ici la splendeur littéraire de la France, et dont les noms, célébrés aujourd’hui par la voix des nations, retentiront encore avec éclat dans la bouche de nos derniers neveux. — (Georges Louis Leclerc BuffonTraité du style ).
  2. (Lâkûê) kôya; ahû/
    • Peut-être donnerait-elle au Maître un garçon. Eh bien ! tant mieux ! la fortune, du moins, n’irait pas aux neveux et aux cousins du Cheikh qui la convoitaient déjà. — (Out-el-Kouloub, « Zaheira » na Trois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Mon nom est Bond. James Bond junior. Je suis le neveu du plus célèbre agent secret du monde. Vous savez. 007. — (James Bond Junior , 1991)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï