Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî pandôo

Sepe

nom de famille \nɔ̃ də fa.mij\ linô kôlï

  1. iri tî ködörö
    • Je lui ai annoncé qu’il avait perdu son nom de famille, – l’autre nom après Jules. Ça, il l’a compris ; un enfant comprend ce que c’est que de perdre : on perd son mouchoir, des billes, des sous. — (« La ribouldingue » na Léon FrapiéLes Contes de la maternelle , éditions Self, 1945, lêmbëtï 43)
    • Les descendants d’un ancêtre commun portent en principe le même nom de famille. On compte au Viêtnam environ une trentaine de noms de famille, dont certains sont ceux des anciennes dynasties, comme Ngô, Dinh, Lê, Ly, Trân, Nguyên. — (Joseph Nguyen Huy Lai, La Tradition religieuse, spirituelle et sociale au Vietnam , Beauchesne, Paris, 1981, lêmbëtï 60)
    • Le nom de famille français est bien, conformément à la formule exprimée par D. Kremer, la « forme définitive de ce qui était à l’origine un nom second » ou surnom accolé au nom de baptême, apparu à l’orée du second millénaire. — (Marianne Mulon, « Typologie des noms de famille français » na Dictionnaire historique des noms de famille romans , Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1990, lêmbëtï 93)
    • Le nom se compose tout d’abord du nom de famille, ensuite du prénom et, enfin, de ce que l’on appelle les accessoires du nom, pseudonyme, surnom et titres nobiliaires. — (Aude Bertrand-Mirkovic, Droit civil : personnes, famille , Studyrama, 2004, lêmbëtï 116)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï