Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

noyer \nwa.je\ palî tî mbenze

  1. ndûru na ngû
    • J’ai failli moi-même être englouti avec mon cheval par les sables mouvants du Tahaddart, entre Tanger et Azila, et j’ai manqué me noyer dans l’embouchure du Tensift. — (Frédéric WeisgerberAu seuil du Maroc Moderne , Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, lêmbëtï 106)
    • J’avais l’impression de me noyer et une angoisse terrible, celle de la mort elle-même m’étreignit. — (Henri AllegLa Question , 1957)
    • Noyer un homme, un chien. — Il le jeta dans l’eau et le noya. — Il s’est noyé dans la rivière.
  2. girisa
    • C’est un homme qui se noie, se dit d’un homme qui se ruine, qui se perd.
    • L’espace d’un instant, elle s’est vue finir à la rue. « Je n’y arrivais plus, raconte Sonia, 41 ans. Je ne savais pas où demander de l’aide. » (…) Alors, elle s’est peu à peu noyée dans le quotidien. — (Marie Charrel na Zeliha Chaffin, « Illectronisme : les laissés-pour-compte du tout-numérique » na Le Monde , 7 Mvuka 2021)
    • Elle est très souriante, un peu mutine même, mais ne laisse aucune échappatoire à la candidate du Front national, qui se noie en direct.}} {{source

Âlïndïpa

Sepe