offensive
Pasûndâ
Sepeoffensive \əˈfensɪv\
Âpendâsombere
SepePandôo
Sepeoffensive \ɔ.fɑ̃.siv\ linô gâlï
- tumba
- La soudaine irruption d’un ennemi prêt à l’offensive n’eut d’autre effet immédiat sur New York que d’accroître sa véhémence habituelle. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 212)
- C'est le 6 avril 1917, le jour du Vendredi-Saint, une semaine avant l'offensive du Chemin des Dames, que le maréchal des logis Clérisse s'envola sur un Sopwith-Clerget. — (Jacques Mortane, Missions spéciales , 1933, lêmbëtï 124)
- Au début de l'année 1918, ils ont mené l’offensive, ils ont déployé toutes leurs forces, et ils méritaient de gagner, ils méritaient la victoire, comme le vieux Pindur et son grand-père Otto Magnor, à la bataille de Sedan. — (Szczepan Twardoch, Drach , traduit du polonais par Lydia Waleryszak, Les Éditions Noir sur Blanc, 2018, chap. 9)
Lêpa tî pasûndâ
Sepeoffensive \ɔ.fɑ̃.siv\ linô gâlï
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine