oranger
Pandôo
Sepeoranger \ɔ.ʁɑ̃.ʒe\ linô kôlï
- (Këkë) (Bangë) këkë tî ndîmo, këkë tî oranze, ndîdro; Âmângbi tî pöpöködörö: Citrus aurantium (Rutaceae)
- L’Oranger a un avantage particulier sur les autres arbres à fruits, & qui est que la nature lui a prescrit deux tems en une année pour donner des fleurs, au lieu que les premiers n'en produisent qu'une seule fois. — (Louis Liger, Dictionnaire pratique du Bon Ménager de campagne et de ville , Paris : chez Pierre Ribou, 1715, vol. 2 (HAB-YEU), lêmbëtï 175)
- Toutes les parties de l’oranger, excepté les racines , sont fortifiantes, céphaliques , stomachiques, cordiales, anti-septiques; les fleurs sont d'un fréquent usage , et les fruits sont très-sains lorsqu'ils sont bien mûrs. — (Georges Louis Marie Dumont de Courset, Le botaniste cultivateur , Paris : chez J. J. Fuchs, an X, vol. 2, lêmbëtï 805)
- Zariffa et ses compagnes dépouillaient les orangers de leurs fruits vermeils, que les hommes alignaient dans des caissettes de bois. — (« Zariffa » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- Mon Dieu, mon Dieu ! Quand on vient des pays où fleurit l’oranger, où trillent les cigales saoulées de soleil, comment se plaire ici ? — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- On cultive l’oranger essentiellement en Espagne, au Maroc, en Tunisie, en Israël, en Californie et au Brésil. — (Josette Gontier, L’Oranger , Le Nom de l’arbre, Actes Sud, 2000, lêmbëtï 12)