Bâa ngâ : pêcher

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

pécher \pe.ʃe\ kürü palî

  1. sâra sïökpärï
    • Il sera d'autant plus libre, qu'il échangera par sa délivrance l'attrait de pécher contre l’indéclinable attrait de ne plus pécher. — (Augustin d'HipponeLa Cité de Dieu , gbïänngö tî L. Moreau, Paris : Vaton, 1845, volume 2, lêmbëtï 547)
    • Pécher, dans la langue hébraïque, signifie : mal viser, manquer le but. — (Simone PacotL'évangélisation des profondeurs , 1997;Points, 2015, lêmbëtï 265)
    • Il semble que l'homme ne puisse pas d'abord pécher contre l'Esprit-Saint, sans avoir fait préalablement d'autres fautes. — (Saint ThomasLa Somme théologique , gbïänngö tî abbé Drioux, Paris : Belin, 1852, vol.4, lêmbëtï 128)
    • L'occasion prochaine se divise en occasion prochaine per se, et en occasion prochaine per accidens. La première est celle qui, vu la fragilité humaine, entraîne, pour tous les hommes, un danger probable de pécher. — (Jacques Valentin, Le Prêtre juge et médecin au tribunal de la pénitence, ou Méthode pour bien diriger les âmes , Bruxelles : M. Vanderborght, 1845, lêmbëtï 46)
    • Pourtant, pécher veut dire simplement viser à côté, rater sa cible; en d'autres mots, ne pas cibler Dieu, mais se mettre soi-même au premier plan : mon intérêt, mes principes, mes avantages et mes convictions passent en premier. — (Robert Henckes, Au rendez-vous de Cana , éditions Fidélité, Namur, 1999, lêmbëtï 129)

Âlïndïpa

Sepe