Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

périr \pe.ʁiʁ\ kürü palî

  1. kûi
    • Le sieur Tassin de Montcourt ayant péri révolutionnairement, ses biens, et notamment les deux septièmes qui lui appartenaient dans la terre de Saint-Escobille, furent confisqués au profit de la nation. — (« Cours de Cassation, 6 mai 1818: Hospices de Dourdan contre Tassin de Villiers » na Journal du Palais : Jurisprudence française , Paris : chez F.-F. Patris, 1839, volume 14 (1817-1818), lêmbëtï 791)
    • Nous parlons sans ménagement de cette paix qui fut jusque-là la seule dangereuse, des deux ou trois camarades communs qu’elle a fait périr. — (Jean GiraudouxRetour d’Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Les fusils partaient, des étrangers étaient tués. L’ordre revenu, on punit quelque fellahs en guise d’exemple. Son père, dont le caractère était vif, périt dans la répression. — (« Zaheira » na Out-el-KouloubTrois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
    • Bientôt tes appels ne seront plus que rauquements de plus en plus sourds, beuglements de désespoir si fatigués qu’ils ne dépasseront plus ta gorge, étranglée de terreur par la furieuse certitude, la peur atroce et annihilante, la frayeur immonde de périr en Fagne […] — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)

Âlïndïpa

Sepe