pétrin
Pandôo
Sepepétrin \pet.ʁɛ̃\ linô kôlï
- (Damâpa) kpälë
- Dans un coffre en bois de chêne, appelé pétrin, on introduit la quantité de farine que l’on veut convertir en pain, en l’écartant sur les bords, puis on délaye au milieu le levain avec de l’eau chaude et une partie de la farine. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 117)
- Les hommes, y disait-on, ne valent pas mieux que la pâte que tourne et retourne dans le pétrin, la main de la ménagère. — (« Zariffa » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- mi
- Je vois la douce Mme Favoral et sa fille, si modeste, dans un drôle de pétrin. — (Émile Gaboriau, L’Argent des autres , 1874)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine