Bâa ngâ : pécheur

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Statue de pêcheurs.

pêcheur \pɛ.ʃœʁ\ linô kôlï

  1. wagïngö-susu
    • Les poissons qu'on y pêche sont d'un goût excellent; ceux qu'on estime le plus et qu'on rencontre le plus fréquemment, sont : le rouget, le maquereau, le loup, la sole, deux espèces de sardines enfin et sur-tout le mulet (vulgairement muge), dont nos pêcheurs distinguent aussi deux variétés. — (M. de Rivière, « Mémoire sur la Camargue » na Annales de l'agriculture française , 2e série, Paris : chez Madame Huzard, Ngubê 1826, tome 34, lêmbëtï 76)
    • De ces trois classes, celle qui doit sans contredit occuper le premier rang est la colonie de pêcheurs, dont les sept à huit familles habitent un petit cap de l’autre côté du port de Chausey. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, « L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste » na Revue des Deux Mondes , 1842, tome 30)
    • Les sardiniers et les pêcheurs de thon de Douarnenez, de Concarneau et d’Audierne, eux, sont les véritables prolétaires de la mer. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)

Âlïndïpa

Sepe