Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

paresseux \pa.ʁɛ.sø\ linô kôlï

  1. nïkpä
    • Le pauvre n'est plus tout à fait l'image du Christ sur terre mais un profiteur sans vergogne et paresseux, dont la paresse est fortement combattue ; une ordonnance de 1351 de Jean II condamne les vagabonds qui refusent de poursuivre une activité salariée. — (Dominique Ancelet-Netter, La Dette, la dîme et le denier: Une analyse sémantique du vocabulaire économique et financier au Moyen Âge , Presses Univ. du Septentrion, 2010, lêmbëtï 82)
    • Je suis un spécimen athée, paresseux, assisté, profiteur et pourri, qui aime se reproduire comme des lapins. Je fais partie du Tiers-Con. Ma devise : Se lever pour une canette. — (Stanley Nagel, Tropique de Belgique , Société des Écrivains, 2013, lêmbëtï 7)
    • Infinie tristesse d'une volonté paresseuse qui ne ne soucie plus de création. Il est temps de changer de braquet, de chercher des têtes nouvelles, des jeunes de vrai talent, ils existent, on ne les appelle pas. — (Jacques Chancel, « Capuçon (Renaud) » na Dictionnaire amoureux de la télévision , Éditions Plon, 2011)
    • (Mato) Être paresseux comme une couleuvre / un lézard.
  2. (Sêndânganga)yeke
    • Estomac, intestin paresseux.

Pandôo 1

Sepe

paresseux \pa.ʁɛ.sø\ linô kôlï

  1. wasopo
    • C’est un paresseux, une paresseuse.
    • À l’automne le paresseux ne laboure pas,
      à la moisson il cherche, et… rien !
      — (Proverbes , gbïänngö tî Émile Osty, XX, 4)
    • Un paresseux est un homme qui ne fait pas semblant de travailler. — (Alphonse AllaisLes Pensées )

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï