Yângâ tî Farânzi Sepe

Mbasêlî Sepe

parfaitement \paʁ.fɛt.mɑ̃\

  1. mbîrîmbîrî
    • Comme je vous aime parfaitement, je pense être aimé de vous de la même sorte. — (Jean-Louis Guez de Balzacliv. IV, lett. 12 )
    • Cette Alerac est aimable de me regretter comme elle fait ; mais ne me souhaitez jamais rien que vous ; vous êtes pour moi toutes choses, et jamais on n’a été aimée si parfaitement d’une fille bien-aimée que je le suis de vous. {{lïndïpa|wasû=Madame de Sévigné|Lettres choisies|De {{Mme de Sévigné à Modèle:Mme de Grignan, À Angers, ce mercredi 20 septembre 1681}}}}
    • Il ne faut rien exagérer, ni dire des cours le mal qui n’y est point : l’on n’y attente rien de pis contre le vrai mérite que de le laisser quelquefois sans récompense ; on ne l’y méprise pas toujours, quand on a pu une fois le discerner ; on l’oublie, et c’est là où l’on sait parfaitement ne faire rien, ou faire très peu de chose, pour ceux que l’on estime beaucoup. — (Jean de La BruyèreLes Caractères , 1688, De la Cour (édition de 1880))

Âlïndïpa Sepe