Yângâ tî Farânzi

Sepe

Penzelö tî pandôo

Sepe

parti politique \paʁ.ti pɔ.li.tik\ linô kôlï

  1. kamâ-porosö
    • Comme les deux partis politiques (les Rouges et les Blancs) étaient à peu près d’égale force au village et que le succès dépendait des voix douteuses de quelques citoyens, genre Abel et Laugu, ces deux-ci avaient depuis longtemps jugé tout le parti qu’ils pouvaient tirer — ou soutirer — comme on voudra, d’une si admirable situation. — (« Deux Électeurs sérieux » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Les partis et groupements politiques concourent à l’expression du suffrage. Ils se forment et exercent leur activité librement. Ils doivent respecter les principes de la souveraineté nationale et de la démocratie. — (« Article 4 » na Constitution française , 1958)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï