Bâa ngâ : patrón, patröon

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

patron \pa.tʁɔ̃\ linô kôlï

  1. (Ngbêne) wabätängö
  2. (Könöngö) patröon
  3. mokönzi, kötä zo tî kua
    • Un radin d’ailleurs, ce compère, qui m’agréa pour un tout petit salaire, mais avec un contrat et des clauses longues comme ça, toutes à son avantage. Un patron en somme. — (Louis-Ferdinand CélineVoyage au bout de la nuit , Denoël et Steele, Paris, 1932 (réédition Gallimard, Folio #28, 2019, lêmbëtï 508)
    • Philéas Beauvisage, garçon sage et plein de respect pour sa mère, eut bientôt conclu l’affaire avec son patron ; et comme il tenait de ses parents la bosse que les phrénologistes appellent l’acquisivité, son ardeur de jeunesse se porta sur ce commerce qui lui parut magnifique et qu’il voulut agrandir par la spéculation. — (Honoré de BalzacLe Député d’Arcis , roman laissé inachevé par Balzac, 1847)
    • Chaque semaine, sur quatre pages, le journal se fera le défenseur des industriels. Hebdomadaire conçu par des patrons pour des patrons, il se veut un véritable outil de décision. — (Thibaut de Jeagher, « L'Usine nouvelle a 120 ans » na L’Usine nouvelle , 15 Kakauka 2011, nömörö 3266, lêmbëtï 8)
    • À l'étrangeté du sabir technocratique s'ajoute une difficulté : je ne parle pas la droite. J'écris « les patrons », avant qu'on me suggère d'y substituer « les employeurs » ou « les entrepreneurs ». — (Marie de GandtSous la plume. Petite exploration du pouvoir politique , Paris, Éditions Robert Laffont, 2013, lêmbëtï 29)

Âlïndïpa

Sepe