paysage
Pandôo
Sepepaysage \pe.i.zaʒ\ linô kôlï
- (Fängö-yäkä, Sêndâsêse, Särängö zaradäa) lêndo
- Il n’y a pas jusqu’à ces pâles oliviers dont l’aspect n’ajoute à l’austérité du paysage. — (Hippolyte Taine, Voyage en Italie , 1866, vol. 2)
- L’unité physionomique d’un paysage provient de ce que certaines plantes se répétant très fréquemment lui impriment une allure particulière. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes , Armand Colin, 1933, lêmbëtï 101)
- Quand on remonte de Toul vers le Nord-Ouest, le paysage n’est pas sans grandeur. Ce sont de larges creux boisés ; et la vue découvre à vingt ou trente kilomètres quelque crête plus sévère. — (Alain, Souvenirs de guerre , Hartmann, 1937, lêmbëtï 9)
- Il a modifié en partie les paysages du domaine en plantant beaucoup d’arbres dans les creux en particulier des peupliers blancs appelés piboules, des micocouliers que Florian traite d’alisiers, et probablement quelques ormeaux et arbres fruitiers autour de château. — (Michel Cointat, Florian, 1755-1794 : aspects méconnus de l’auteur de Plaisir d’amour , 2007, lêmbëtï 61)
- Les recherches conduites ces dernières années, nombreuses et diversifiées, de nature parfois pluridisciplinaires, ont montré combien le paysage est un objet complexe, aux multiples facettes, situé entre nature, technique et société. Il est une production sociale et culturelle : produit du regard porté sur le territoire, mais aussi produit de l’action d’une société sur son espace. — (« La recherche en sciences sociales dans les écoles de paysage en France » na Monique Toublanc, Projets de paysage , 2 Lengua 2009)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine