Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

peinard \pe.naʁ\ wala \pɛ.naʁ\

  1. (Mbumbuse)wasopo
    • Ainsi, moi, pour le truc, tu croirais pas, costaud comme je suis, je suis plutôt père peinard. Il y a ma femme, et c’est tout. Il y en a qui cavalent, qui n’arrêtent pas. C’est pas mon genre. Moi, deux ou trois fois par semaine, je dis pas, avec les copains, et c’est plutôt histoire de rigoler. — (Robert MerleWeek-end à Zuydcoote , 1949, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 19)
    • Il naviguait en pèr’ peinard
      Sur la grand-mare des canards
      Et s’app’lait les Copains d’abord.
      — (Georges BrassensLes Copains d’abord )

Âkpalêtôngbi

Sepe

Mbasêlî

Sepe

peinard \pe.naʁ\ wala \pɛ.naʁ\

  1. (Mbumbuse) kpô
    • J’avais fait le poireau de neuf heures du matin jusqu'à dix heures, avant que l'autre bouffon de dealer s'amène. Je l'imaginais qui devait prendre son petit déj’ peinard pendant que je me pelais le jonc à l’attendre. — (Éric Maravélias, La faux soyeuse , Éditions Gallimard, 2016)

Âlïndïpa

Sepe