Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

pencher \pɑ̃.ʃe\

  1. ba, dênge/dîngi
    • Abrité par des roseaux, le chasseur guette les canards du fond de sa barque, que dépassent seulement la visière d’une casquette, le canon du fusil et la tête du chien flairant le vent, happant les moustiques, ou bien de ses grosses pattes étendues penchant tout le bateau d’un côté et le remplissant d'eau. — (Alphonse DaudetEn Camargue , in Lettres de mon moulin, Gallimard Folio 1999, lêmbëtï 301)
    • Pencher la tête, le corps.
    • Pencher un vase.
    • Plier les branches d’un arbre et les pencher.
    • Il fit oui-oui, de la tête, revint au lit, se pencha : le cadavre refroidissait. — (Michel del CastilloLe Vent de la nuit , éditions René Julliard, 1972, quatrième livre, dix-neuvième chapitre)
    • Penchez-vous que je rajuste votre coiffure.
    • Airs penchés : Mouvements affectés de la tête ou du corps, que l’on fait pour se donner un air tendre ou mélancolique. Elle a des airs penchés.
    • Il prend des airs penchés.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï