Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pasûndâ

Sepe

perdu \pɛʁ.dy\ linô kôlï

  1. Mûngökûê na terê tî zo.
    • Va te renseigner aux bureaux des objets perdus.
    • Tout est perdu.
    • Tu verras, mon petit Rémi, tu verras, tout n’est pas perdu. — (Hector MalotSans famille , 1878)
  2. tî gïrïsängö, girisa
    • Je suis perdu dans la ville.
    • Un coin perdu du pays.
    • Perdu dans ses pensées.
    • Pays perdu,
    • Je suis perdue, où aller
      sans amis et sans famille ?
      Je ne suis qu’une petite fille
      J’crois qu’aujourd’hui je vais pleurer.

      J’étais seule, j’avais peur
      perdue au milieu des bois
      Il est temps de sécher mes pleurs
      Serre-moi bien fort dans tes bras.
      — (Bérengère n’a peur de rien , 1996)
    • Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, (...).— (Émile ZolaAu Bonheur des Dames , 1883 - Éditions Gallimard, 1980, ISBN 2070409309, lêmbëtï 29)
      • C’est l’enfant perdu du parti.
      • Il s’est avancé dans cette affaire en enfant perdu.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï