Bâa ngâ : Perle, pērle

Yângâ tî Danemêrke

Sepe

Pandôo

Sepe

perle \sêndagô ?\

  1. kîzi

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Collier de perles.

perle \pɛʁl\ linô gâlï

  1. kîzi, lenge, lenge tî gô
    • Ça ne court pas les fêtes, des broquilles comme les vôtres, et ça se reconnaît. Si ce n'est pas dégoûtant pour une gonzesse de porter des perles comme ça, il y a de quoi nourrir une famille pendant des années ! — (Jean LorrainLe crime des riches , Baudinière, 1905, lêmbëtï 288)
    • Je m’apprête, pour descendre à table. J’endosse un gilet de fantaisie, un vêtement sombre. Je pique une perle à ma cravate. — (Henri BarbusseL’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
    • Il […] reparut bientôt tenant une huître à la main. L'ouverture ne produisit pas la perle désirée, ce qui n'était pas pour surprendre, car la proportion des huîtres contenant des « poe » ou perles, est de une sur plusieurs milliers. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
    • Elle […] riait des plaisanteries qu'un ivrogne adressait à une très vieille et très innocente prostituée dont la décrépitude s'adornait de perles, d'opales, de brillants, de saphirs, d'émeraudes et de rubis faux. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
      • Enfiler des perles.
      • Une couronne mortuaire en perles.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Nörvêzi

Sepe

Pandôo

Sepe

perle \sêndagô ?\

  1. kîzi