Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

piqûre \pi.kyʁ\ linô gâlï

  1. kpöngö
    • Une piqûre d’épingle.
    • La piqûre d’une abeille, d’un scorpion.
    • Il y a des piqûres ou des morsures d’insectes (abeilles, guêpes, frelons, scorpions) qui donnent des réactions graves, avec des gonflements importants. Les chevaux réagissent souvent fortement. — (Bill Forse, Christian Meyer & al., Que faire sans vétérinaire ? , Cirad / CTA / Kathala, 2002, lêmbëtï 327 → dîko mbëtï)
  2. (Sêndânganga) pikîri
    • M. D…, à Jarville; paralysie de la paupière supérieure gauche. — Se rend à l’hôpital, où on lui fait des piqûres à la suite desquelles la paupière se soulève, mais l’œil gauche était dévié de 45° vers l’extérieur. — (Émile CouéLa Maîtrise de Soi-même par l’autosuggestion consciente , 1922, éd. 1935, lêmbëtï 41)
    • On nous a fait à tous deux des piqûres antitétaniques, qui nous donneront, paraît-il, de l’urticaire dans deux ou trois jours. Pierre, très abattu, est resté à la clinique. — (Claude Lévi-Strauss« Chers tous deux » : Lettres à ses parents 1931-1942 , Éditions du Seuil, 2015)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï