pitance
Pandôo
Sepepitance \pi.tɑ̃s\ linô gâlï
- (Könöngö) kêtê kôbe
- Certain chien, qui portait la pitance au logis. — (La Fontaine, Fables , VIII, 7)
- On m’apporta ma pitance, que je commençai à expédier avec beaucoup d’appétit. — (Lesage, Gil Blas )
- Il mangeait une maigre et puante pitance, faite de créton et d’eau sale qu’on lui apportait le matin, dans une écuelle de grès ébréché. — (Octave Mirbeau, « La Mort du chien » dans Lettres de ma chaumière , 1886)
- Chose curieuse que le degré de socialisme déjà établi en France ! L’État vous contraint à des économies, vous associe malgré vous, vous donne par là une pitance congrue quand vous êtes invalide ; vous êtes traité en mineur incapable de pourvoir à votre vieillesse.— (Hippolyte Taine, Carnets de voyage : Notes sur la province, 1863-1865 , Hachette, 1897)
- Je ne demande pour tous gages que la niche et la pitance. — (Michel Zévaco, Le Capitan , 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire », 1907, no 31)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine