Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

plaire \plɛʁ\ palî tî mbenze

  1. nzere
    • Ces lieux communs mythologiques et ce cliquetis de mots sonores, mais à peu près vides de sens, plurent au roi Sighebert et à ceux des seigneurs Francs qui, comme lui, comprenaient quelque peu la poésie latine. — (Augustin Thierry, « Récits des temps mérovingiens » na 1er récit : Les quatre fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568) , 1833 - éd. Union Générale d’Édition, 1965)
    • Les parties de pêche au bord de la Cuisance lui plaisaient; il admirait les coups d’épervier lancés d'une main vigoureuse par Jules Vercel. — (René Vallery-RadotLa vie de Pasteur , Hachette, 1900, Flammarion, 1941, lêmbëtï 12)
    • Ils causèrent au coin du feu ; l’intérieur plut sans doute à l’abbé, car il se mit à l’aise. — (Joris-Karl HuysmansLa Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
    • Confucius était un moraliste qui se méfiait de l’intelligence ; le terre à terre des relations humaines lui plaisait mieux que la spéculation ondoyante. — (Paul Demiéville, « La montagne dans l’art littéraire chinois » na Choix d’études sinologiques (1921-1970) , BRILL, 1973, lêmbëtï 364)
  2. (Wapolïpa) ndoyê
    • Se plaire à soi-même, être content de soi.
    • Se plaire l’un à l’autre, être agréable l’un à l’autre.

Âlïndïpa

Sepe