Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

plaisanterie \plɛ.zɑ̃.tʁi\ linô gâlï

  1. ngîâ, tënë tî ngîâ
    • Les grands ont toujours tort de plaisanter avec leurs inférieurs. La plaisanterie est un jeu, le jeu suppose l’égalité. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • Les hommes se déshabillent pour se laver et font la queue aux pompes; la plaisanterie habituelle est d'éclabousser Ragueton, qui a des pantoufles en tapisserie. — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
    • J’ai ouï dire que cette communauté avait ses dangers ; que les calopsittes étaient susceptibles de molester les jeunes ondulées au sortir du nid, de leur couper les pattes, en un mot de leur faire de fort mauvaises plaisanteries. — (Ernest LeroyLa perruche ondulée : éducation pratique, acclimatation, reproduction … , Firmin-Didot, 1879, lêmbëtï 85)
  2. (Hëngö-ndo) bübä yê
    • Quant à l’ortograf fonétik, c'est une douce plaisanterie. Il y a un journal qui publie des fables de La Fontaine dans ce système-là. C'est illisible. Il faut épeler comme à quatre ans. Le principe est doublement faux. — (Joseph Lebierre, Le mouvement réformiste des 35 dernières années et l’état actuel de la langue française , Teubner, Leipzig & Berlin, 1902, lêmbëtï 16 → dîko mbëtï)
    • Cette momie livide, ce sec intrigant, qui porte un manteau ducal encore tout neuf, veut lui refuser l’obéissance, à lui devant qui ont plié toutes les armées de l’Europe ? Non, on n’admet pas ces plaisanteries-là quand on s’appelle Napoléon. — (Stefan ZweigJoseph Fouché , Grasset, 1969)

Âlïndïpa

Sepe