pois chiche
Penzelö tî pandôo
Sepepois chiche \pwɑ ʃiʃ\ wala \pwa ʃiʃ\ linô kôlï
- (Fängö-yäkä, Bangë) gbôkôrâ
- Son sol est formé d'une couche presque ininterrompue d’une terre végétale noire et grasse qui, au printemps, se couvre de blé, d’orge, de maïs, de fèves, de pois chiches. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 36)
- Lili – qui à mon avis en savait très long – célébra la fécondité et la sobriété du pois chiche, qui n’a pas besoin d’eau, ni de fumier, ni même de terre, et se nourrit de l’air du temps. — (Marcel Pagnol, Le Château de ma mère , 1958, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 353)
- On trouve parmi les aliments les plus anciens, les fèves et toutes les légumineuses cultivées dans les champs depuis l’Antiquité en Europe : dolique, pois sec, lentille, pois chiche […]. — (Marianne Loison, Légumes anciens, saveurs nouvelles , France Agricole Éditions, 2006, lêmbëtï 127)
- (Kugbëkâsa) ngoangoa tî gbôkôrâ
- La cuisine n’est pas le côté brillant de l’Espagne, et les hôtelleries n’ont pas été sensiblement améliorées depuis don Quichotte ; les peintures d’omelettes emplumées, de merluches coriaces, d’huile rance et de pois chiches pouvant servir de balles pour les fusils, sont encore de la plus exacte vérité. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne , Charpentier, 1859, ch. X)
- Je battis au fléau les pois chiches, enfermés dans des cosses sèches comme une bille dans un grelot. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets , 1960, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 17)
- Localement, certaines entreprises remettent les graines de légumineuses au goût du jour en proposant de la pâte à tartiner à base de féverole et des biscuits conçus avec des pois chiches. Dans le commerce, on trouve aussi des pois chiches grillés pour l'apéro ou une gamme de crumbles, galettes et boulettes à base de légumes secs. — (Frédéric Mouchon, Pourquoi il faut manger des pois chiches , leparisien.fr, 22 Ngberere 2019)
- (Sêkpängö) (Kobêla)
- J’expliquais à Henriette comment passionner ses élèves pour un jeu de fond orné d’escargots. Comment les enflammer pour le buste en plâtre de Cicéron avec son pois chiche au bout du nez, ou pour celui de Voltaire avec son « hideux sourire ». — (Paul Guth, Le mariage du Naïf , 1957, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 132)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï