Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

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Le pommier.

pommier \pɔ.mje\ linô kôlï

  1. (Këkë) (Lêkëkë) këpôme
    • Dans les vergers ou les terrains vagues, où l’on ne compte pas sur la récolte du sol, on plante en général 200 pommiers ou poiriers par hectare. — (Edmond NivoitNotions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 136)
    • […] puis, ayant longé un champ d’avoine, étoilé de bluets et de coquelicots, nous arrivâmes en un verger où des vaches, à la robe bringelée, dormaient couchées à l’ombre des pommiers. — (Octave Mirbeau, « Le Père Nicolas » na Lettres de ma chaumière , 1885)
    • Je vais m’étendre dans la prairie, sous un pommier aux pommes vertes et dures. Je peux dormir au-dessous d’elles, je peux les contempler sans crainte, et même sans l’appréhension d’avoir à inventer, l’une tombant, les lois du monde. — (Jean GiraudouxRetour d’Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Le chien, logé dans un baril, au pied d’un pommier penchant, jappait avec fureur en tirant sur sa chaîne. — (Guy de MaupassantLe Crime au père Boniface )
    • Puis on se remit en route sous les pommiers déjà lourds de fruits. — (Guy de MaupassantContes de la bécasse, Farce normande )
    • Moins difficile que le poirier, le pommier vient à peu près partout. — (Louis HenryÉléments d’arboriculture fruitière destinés aux instituteurs, aux cours supérieurs et aux cours complémentaires des écoles primaires )

Âlïndïpa

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