Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

porte-bonheur \pɔʁt.bɔ.nœʁ\ linô kôlï

  1. yê tî terê
    • Une fille, le verbe haut, disant que Marvejoux lui avait levé huit porte-bonheur, ni plus ni moins, qu’elle voulait faire réunir par une chaînette. — (Jules ClaretieLe Train 17 , 1877)
    • Au Japon, les gens gardent les grillons dans de minuscules cages en bambou comme porte-bonheur. — (Richard Webster365 façons d’attirer la chance , 2016, lêmbëtï 225)
    • Par ailleurs, les parents devraient enseigner à leurs enfants la signification de l’étrenne ou de "l’argent porte-bonheur" (lì xì), qu’ils reçoivent de la part des adultes à l’occasion du Têt, accompagnée des souhaits de bonne santé et études studieuses ainsi que de volonté pour affronter les difficultés... — (« Le Têt et les petites leçons » na Le Courrier du Vietnam , 11 Fulundïgi 2021 → dîko mbëtï)
    • Le trèfle à quatre feuilles est considéré comme un porte-bonheur.

Âlïndïpa

Sepe