porteur
Pandôo 1
Sepeporteur \pɔʁ.tœʁ\ linô kôlï
- wayöngö
- Le porteur vient de faire un faux pas. La caisse glisse de ses épaules, tombe… heureusement par-dessus le bastingage […]. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 3)
- Mais que sont devenus, demande l’Européen, les milliers de porteurs qui travaillaient sur les quais ? — (André Maurois, Chantiers américains , 1933)
- Il avait appartenu, en qualité de porteur, à une troupe d’acrobates de cirque, puis s’était entraîné au tapis, en vue d’un numéro de « flic-flac » avec rattrape sur les épaules. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
- Pas d’autres bruits, quand on descendit le cercueil, que le grincement des cordes et les deux ou trois avertissements des porteurs, d’une voix retenue, concentrée, comme lorsqu’ils chargeaient une voiture de foin ou commençaient une partie de cartes. — (Marcel Arland, Terre natale , 1938, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 252)
- De tels bagages, qu’ils soient siglés Zadig et Voltaire ou bien Pascal et Blaise, n’avaient de sens que dans un société où existait encore la fonction de porteur. — (Michel Houellebecq, Sérotonine , Flammarion, 2019, lêmbëtï 26)
Âlïndïpa
Sepe- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine