Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

posséder \pɔ.se.de\ palî tî mbenze

  1. yeke na
    • On peut être marri, ou plutôt s’attrister du bien d’autrui, à cause que nous ne l’avons pas & que nous souhaiterions le posséder aussi bien que lui […] — (Vincent HoudryLa Bibliothèque des prédicateurs , 3e édition, 1733, volume 3, § 5, lêmbëtï 598)
    • Aucun riche ne possède plus que moi ce vieux chêne de Fontainebleau ou ce tableau du Louvre. Et ils sont plus à moi qu’au riche si je sais mieux en jouir. — (Anatole FranceMonsieur Bergeret à Paris , 1901, chapitre XVII)
    • Il y avait beaucoup, beaucoup de monde et tous m’admiraient parce que je suis maintenant riche à millions. Tous les millions que je possède je les ai mis dans un grand coffre, sous le tombeau de Charlemagne, à Aix-la-Chapelle. — (Raymond QueneauLes Derniers Jours , Gallimard, collection Blanche, 1936)
    • Il y a très peu d'années encore, la faux, la faucille, la binette et la houe constituaient l’essentiel de l’outillage du paysan, qui possédait également et généralement une sulfateuse à main pour traiter sa vigne en limite de parcelles. — (Fabienne Wateau, Partager l’eau: Irrigation et conflits au nord-ouest du Portugal , Éditions de la Maison des sciences de l’homme/CNRS éditions, 2013, lêmbëtï 192)

Âlïndïpa

Sepe