Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo 1 Sepe

potage \pɔ.taʒ\ linô kôlï

  1. sûpu
    • Les potages à la semouille, aux lazagnes, aux nouilles et autres pâtes, doivent s'opérer de la même manière et avec les mêmes précautions que le potage au vermicelle. — (Pierre-Marie-Jean Cousin de Courchamps, Néo-physiologie du goût, par ordre alphabétique; ou, Dictionnaire général de la Cuisine française , Paris : 1839, lêmbëtï 388)
    • — Tant pis. Ça aurait bien fait, un potage à la Jacobine, servi par un huissier à chaîne d'argent. Hein ! Doguereau, connais-tu le potage à la Jacobine? — (Georges d'EsparbèsLa soldate , éd. E. Flammarion, 1905, lêmbëtï 216)
    • – Oh, j’ai mangé mon potage, j’ai mangé mon potage, dit le prote sur un ton qui devenait peu à peu profondément dubitatif, comme si ce n’était pas là du tout quelque chose de sûr. Comme si le potage lui-même ou ce qui restait dans l’assiette devait lui aussi douter de sa propre existence et se croire hors-d’œuvre ou entrée ou desserts variés. Ou même rien du tout : un potage chez les morts. — (Jules SupervielleLe voleur d’enfants , Gallimard, 1926, collection Folio, lêmbëtï 138)
    • 3° - Après cette période, s'alimenter pendant une semaine à peu près de la manière suivante :
      a - le matin : une assiettée de potage Julienne ou un fruit avec une tasse de café ou de thé peu sucré.
      — (Docteur Pierre Vachet, Vivre mieux, rester jeune , éd. Grasset, 1958, 1975)

Âlïndïpa Sepe