poumon
Pandôo
Sepepoumon \pu.mɔ̃\ linô kôlï
- fufû
- S'il n'y a aucun signe plessimétrique ou stéthoscopique indiquant une lésion superficielle du poumon, et si la respiration est simplement affaiblie, on ne peut guère hésiter qu'entre l'existence d'indurations centrales ou disséminées et un état emphysémateux du poumon. — (docteur Noël Gueneau de Mussy, « Commentaire sur De l'auscultation plessimétrique » na L'Union médicale , 1976, publié dans Archives médicales belges, 1876, nömörö 83,85 & 87, vol. 10, lêmbëtï 198)
- TOINETTE : Qui est votre médecin ?
ARGAN : Monsieur Purgon.
TOINETTE : Cet homme-là n'est point écrit sur mes tablettes entre les grands médecins. De quoi dit-il que vous êtes malade ?
ARGAN : Il dit que c’est du foie, et d’autres disent que c’est de la rate.
TOINETTE : Ce sont tous des ignorants. C’est du poumon que vous êtes malade.
ARGAN : Du poumon ?
TOINETTE : Oui. Que sentez-vous ?
ARGAN : Je sens de temps en temps des douleurs de tête.
TOINETTE : Justement, le poumon.
ARGAN : Il me semble parfois que j’ai un voile devant les yeux.
TOINETTE : Le poumon. — (Molière, Le Malade imaginaire , 1673, acte III, scène 10) - C’est ici seulement que l’homme sent l’air pénétrer facilement dans ses poumons, qu’il vit, qu’il pense. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
- J'essayais, en contractant le gosier, d'absorber le moins possible d'eau et de résister à l'asphyxie en retenant le plus longtemps que je pouvais l'air dans mes poumons. Mais je ne pus tenir plus de quelques instants. — (Henri Alleg, La Question , 1957)
- […], tout à coup, comme si le son s'évadait brusquement du tournant de la montagne, on entendit des voix hurlantes, beuglant de tous leurs poumons, aussi faux que possible: […]. — (« Le retour » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Malgré mon obésité, je marchais allègrement, tout heureux de décrasser mes poumons à cet air limpide, à cet air lustral des belles nuits d’été... — (Octave Mirbeau, Le colporteur )
- La Girafe, excitée à fuir, se presse, s’emporte, […] ; mais elle ne soutient point longtemps cet effort, qu’elle ressent comme une fatigue : c’est que ses poumons n’ont pas assez d’ampleur ; défaut que révèle la petitesse du coffre qui les contient. — (Étienne Geoffroy Saint-Hilaire, Quelques Considérations sur la Girafe , 1827)
- Bert portait toujours ce plastron ; c’était sa chimère favorite, créée par une somnambule extra-lucide qui avait déclaré au jeune homme qu’il avait les poumons faibles. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 102)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï
Yângâ tî Kreöol tî Haitïi
SepePandôo
Sepepoumon \sêndagô ?\