Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

pouvoir \pu.vwaʁ\

  1. lîngbi, lîngbi tî
    • Un léger souffle l’avertissait de ces présences. Geisha le comparait à ces vagues vents coulis traversant certaines pièces bien closes sans qu’on puisse découvrir d’où ils viennent. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 53)
    • Elles deux ne pouvaient passer pour des aristocrates ; au mieux pouvait-on les prendre pour des hoberelles d’une lointaine province. — (Gérard Hubert-Richou, Le Sceptre et le Venin , Boulogne-Billancourt : MA éditions, 2013, chap. L.)
    • Je ne peux plus me concentrer avec tout ce bruit. — Je n’en peux plus, je suis épuisée.
    • Il avoit cependant assez de goût pour sentir qu’on auroit pu choisir un meilleur juge, mais il prenoit la vanité satisfaite pour de la confiance. — (Madame de GenlisNouveau contes moraux et nouvelles historiques , Imprimerie de Crapelet, 1802, âlêmbëtï 1-47)
      • Il se peut que votre projet réussisse.
      • Il pourra venir un temps meilleur.
      • Il pourra, il pourrait arriver que… Il se pourrait que…

Pandôo

Sepe

pouvoir \pu.vwaʁ\ linô kôlï

  1. ngangü
    • Dans une société primitive, celui que nous prendrions pour un chef est un porte-parole : il n’a pas de pouvoir.
  2. mbätä tî gbïä

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï