Bâa ngâ : pret

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

prêt \pʁɛ\ linô kôlï

    1. bôon, monzën
      • En Assyrie, en Égypte, l’intermédiarat existait, et, aussi, le prêt avec intérêt. Les paysans, manquant de blé, empruntaient des lingots d’or ou d’argent pour s’en procurer ; puis, quand il leur fallait rendre ces lingots, ils vendaient la récolte à perte, naturellement, à des trusteurs qui devinrent peu à peu maîtres du marché. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 172)
      • En 1545, l’évêque de Strasbourg interdit à ses ouailles de contracter des prêts hypothécaires chez des juifs. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
      • Je ne vous donne pas ce livre, ce n’est qu’un prêt.
  1. bôon, monzën
    • Un prêt considérable.

Pasûndâ

Sepe

prêt \pʁɛ\ linô kôlï

  1. ndurü
    • Le dîner est prêt.
    • Tenez-vous prêt pour partir dans deux heures.
    • Je suis prêt à vous entendre.
    • En sommes, tu restes alors tout près de lui, mais également tout prêt pour lui. — (Jean Proulx, Grandir en humanité , Fides, 2018, lêmbëtï 141)
    • C’est un homme qui n’est jamais prêt : C’est un homme qui est toujours en retard, qui n’a jamais fait à temps ses préparatifs.

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï