Yângâ tî Farânzi

Sepe

Mbasêlî

Sepe

presque \pʁɛsk\

  1. gä ndurü, kûê pëpe
    • Mes tempes battent ; toute ma chair va à cette femme presque nue et charmante dans le matin et dans le transparent vêtement qui enferme la douce odeur d’elle… — (Henri BarbusseL’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
    • Je continue à me nourrir presque uniquement de biscuits. — (Alain GerbaultÀ la poursuite du soleil , 1929, tome 1 : De New-York à Tahiti)
    • Comme aux très anciennes bâtisses, l’auvent du toit dévale presque jusqu’au sol, en guise de hangar. — (Jean RogissartPassantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
    • […] ; le système monétaire et le système du crédit reposent sur une vaine tradition de la valeur de l’or et offrent une instabilité presque fantastique. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 406)
    • Après avoir été très élevé pendant la grande crise de 1929, le chômage américain a presque complètement disparu durant la guerre de 1940. Ce n’est que vers 1947 que celui-ci réapparaît. — (Dominique GambierAnalyse conjoncturelle du chômage , Publication Université de Rouen/Presses Universitaires de France, 1976, lêmbëtï 148)
  2. (Sêndâmâti) sân

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï