Yângâ tî Farânzi Sepe

Palî Sepe

priver \pʁi.ve\

  1. gbânzi
    • Le sol schisteux et argileux de la partie septentrionale des Ardennes au-delà de Charleville est entièrement privé de calcaire, […]. — (Edmond Nivoit, « Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes » na 1869 , 41)
    • Il suffisait que des locataires de la maison déménageassent pour qu'elle ne dormît plus et souffrît autant que si on l’eût privée de tout. La pensée qu'on allait et venait près d'elle, qu'on était content de partir ou de s'installer, lui était intolérable. — (Emmanuel Bove, L'Amour de Pierre Neuhart , Le Castor Astral éditeur, 2018, chap. 3)
    • L’arrêt qu’on a rendu contre lui le prive de tous ses biens, le prive de ses droits civils.
    • On l’a privé de tous ses avantages.
    • Priver un homme de la vue de ses enfants, de sa femme, de ses amis.
    • Par là ils se sont privés de tout secours.
  2. (Mbäkôro, Wapolïpa) gä nyama tî da
    • Le loup pris jeune se prive, mais ne s'attache point, la nature est plus forte que l'éducation ; il reprend avec l'âge son caractère féroce, et retourne, dès qu'il le peut, à son état sauvage. — (Georges-Louis Leclerc de Buffon, « Histoire naturelle des animaux » na « Le Loup », in Œuvres , Bibliothèque de la Pléiade, 2007, lêmbëtï 769)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï