prochain
Pandôo
Sepeprochain \pʁɔ.ʃɛ̃\ linô kôlï
- (Nzapä) mbâ
- Dans ses discours, il défendit avec force cette thèse que la stricte observance des lois religieuses doit s’accompagner, pour devenir méritoire, de la pratique de la justice et de l’amour du prochain, envers les juifs comme envers les non-juifs. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- On ne s’improvise pas usurier, il faut parvenir d’abord à une méritoire insertion dans la mafia des gens bien placés pour exploiter leur prochain. — (Jean-Paul Desaive, Délits sexuels et archives judiciaires (1690-1750) , Communications, 1987, vol. 46, nömörö 46, lêmbëtï 121)
- À l'école, on nous apprenait à aimer notre prochain. Mais les inconnus, c'était autre chose. Donc, bien entendu, nous cherchâmes noise à Guido. Primo, parce que c'était un intrus, venu se greffer sur notre classe à la rentrée de septembre, l'année de notre passage en neuvième, […]. — (Curt Leviant, Journal d'une femme adultère , gbïänngö tî Béatrice Vigne, Éd. Anatolia, 2007, Pocket, 2009)
- tî pekô
- Tu seras la prochaine que j’interrogerai.
- Mon bus, c’est le prochain.
Pasûndâ
Sepeprochain \pʁɔ.ʃɛ̃\ linô kôlï
- tî pokô
- Pour lui, il n’y avait plus qu’un moyen de salut, le radeau; mais fallait-il s’y embarquer dès maintenant, […], et chercher à gagner la côte la plus prochaine. — (Jules Verne, Le Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
- tî gbândä, kekerêke
- Les immenses succès obtenus par la civilisation matérielle ont fait croire que le bonheur se produirait tout seul, pour tout le monde, dans un avenir tout prochain.— (« Lettre à Daniel Halévy (15 juillet 1907) » na Georges Sorel, Réflexions sur la violence , 1908)
- La vitesse de circulation de la monnaie croissait ainsi de jour en jour et sa répudiation définitive semblait devoir être prochaine. — (Wilfrid Baumgartner, Le Rentenmark (15 octobre 1923 - 11 octobre 1924) , Les Presses Universitaires de France, 1925 (réimpr. 2e éd. revue), lêmbëtï 93)
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï