Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

progéniture \pʁɔ.ʒe.ni.tyʁ\ linô gâlï

  1. (Hëngö-ndo, Mbäkôro) alë
    • Je suis pour Hélène ce que, dans l’ordre naturel, une mère doit être pour sa progéniture. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1832, chapitre 2, lêmbëtï 73)
    • Alors comment redonner aux bourgeois français le goût de la famille et des progénitures copieuses ? Des ligues pour la repopulation ? Bah ! Elles sont composées, en majeure partie, de célibataires endurcis […]. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930)
    • Misère, c’était le nom de ma chienne qui n’avait que trois pattes. L’autre, le destin la lui avait mise de côté pour les olympiades de la bouffe et des culs semestriels qu’elle accrochait dans les buissons pour y aller de sa progéniture. — (Léo FerréIl n’y a plus rien )
    • C’est bien, faire des activités avec les enfants. Mais pourquoi j’ai l’impression qu’on doit sans cesse animer, distraire et stimuler notre progéniture avec des activités à 50 piasses la tête de pipe ? L’ennui n’est-il pas le tremplin vers la créativité ? — (Geneviève Pettersen, « On s’en fait trop avec la relâche » na Le Journal de Québec , 19 Fulundïgi 2021)

Âlïndïpa

Sepe