promettre
Palî
Sepepromettre \pʁɔ.mɛtʁ\
- mû yângâ, dëbä yângâ, mû zëndo/mû zêndo
- Celui-ci promettait naturellement à ses électeurs, comme don de joyeux avènement, la séparation de l’Église et de l’État, l'instruction laïque et la suppression du budget des cultes. — (Paul-Gabriel d’Haussonville, L’Enfance à Paris , 1879, Calmann-Lévy, lêmbëtï 161)
- Laurier avait promis ce subside, mais ne l'avait pas fait voter avant son départ pour la conférence impériale de Londres. — (Philippe Auguste Choquette & Robert Rumilly, Un demi-siècle de vie politique , Éditions Beauchemin, 1936, lêmbëtï 144)
- Dans les cabarets et dans les foires, il haranguait les paysans, et leur promettait la suppression de la robot (corvée) et celle de l'impôt sur le sel et sur le tabac. — (La Revue des deux Mondes , 1949, ânömörö 21 à 24, lêmbëtï 911)
- Depuis que le comte lui avait promis son soutien pour les prochaines cantonales, il fayotait sans vergogne et Archibald, en qualité de protégé de ce dernier, trouvait à ses yeux toutes les grâces du monde. — (Dominique Moimeaux, Un coin tranquille à mourir , Editions Edilivre, 2015, chap. 21)
- (Wapolïpa) dutï na bêkü
- Sa langue, d'une mobilité étonnante, courait amoureusement sur ses lèvres comme si elle se promettait de goûter à toutes les félicités d'ici-bas. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 12)
- Il se promet cela de votre bonté. — Il se promet d’y être bientôt.
- Je n’oserais me promettre que vous me ferez cet honneur.
- Je m’étais promis plus de plaisir que je n’en ai eu. — Qui peut se promettre d’éviter un tel malheur ?
Âlïndïpa
Sepe- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï