Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

prophète \pʁɔ.fɛt\ linô kôlï

  1. (Mbëtï tî Nzapä, Nzapä) wayângâ-Nzapä
    • Les deux voies naturelles pour entrer au cabinet des Dieux et y prévoir le cours des destinées sont la fureur et le sommeil. Ceci est plaisant à considérer : par la dislocation que les passions apportent à notre raison, nous devenons vertueux; par son extirpation que la fureur ou l’image de la mort apporte, nous devenons prophètes et divins. — (Montaigne, « Essais » na II, 12 Apologie de Raymond Sebond , lêmbëtï 1595)
    • Nous sommes obligés logiquement parlant, de considérer Nostradamus comme un excellent prophète, puisque tous les événements prédits dans ses Centuries se sont aussi parfaitement réalisés. — (Eugène Bareste, Nostradamus , 1840, lêmbëtï 79)
    • La Moussotte ne se connaissait plus; elle en oublia de se peigner, cassa de la vaisselle et se répandit par tout le village en imprécations dont l’énergie ne cédait en rien à celle des prophètes de la Bible. — (« Le retour » na Louis PergaudLes Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Nous ne savons rien du prophète lui-même, sinon le contenu et les circonstances concrètes de son intervention dans la vie de son peuple. — (Marc GirardAggée, prophète d’aujourd’hui : tout est à rebâtir ! , 1994)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï