Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

proscrire \pʁɔs.kʁiʁ\ palî tî mbenze

  1. (Mbumbuse) to yongôro
  2. (Zäzämä) gbânzi
    • À qui pouvait-elle dire : Je souffre ! Ses larmes auraient offensé son mari, cause première de la catastrophe. Les lois, les mœurs proscrivaient ses plaintes. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Les jésuites excitèrent la Sorbonne contre Descartes, et l'on demanda la proscription de sa philosophie, d'abord au parlement, qui refusa d'intervenir; ensuite au conseil du roi, qui la proscrivit en effet. — (Jules SimonIntroduction de: « Œuvres de Descartes » , édition Charpentier à Paris, 1845)
    • Le balayage est impitoyablement proscrit, les poussières pouvant être mortelles pour les vers à soie. — (Daniel Marie Joseph de PratNouveau manuel complet de filature ; 1ère partie: Fibres animales & minérales , Encyclopédie Roret, 1914)
    • Enfin, pour conserver les berges et la ripisylve en bon état, les plantations à moins de 5 mètres de la rivière sont à proscrire. — (Vincent Thècle, « Peupliers : comment réussir les nouvelles plantations » na La France agricole , 26 Nabändüru 2010, nömörö 3361)

Âlïndïpa

Sepe