Bâa ngâ : Prostitution

Pandôo

Sepe

prostitution \ˌprɑːs.tə.ˈtuː.ʃən\

  1. ndûmbâ, pitäan

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe
 
Prostitution, Turin, Italie (2005).

prostitution \pʁɔs.ti.ty.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. (Tënë tî kubû) ndûmbâ, pitäan
    • N’oublions pas que la fonction de la prostitution réglementée, milieu abject mais nécessaire, est de canaliser la sexualité extra-conjugale et surtout qu’elle demeure conforme à la nature. — (Alain CorbinLes filles de noce , 1978)
    • Le mariage tel qu’il se contracte constitue donc une forme de prostitution. Mais de plus il est la cause principale de la prostitution ordinaire, de la prostitution proprement dite. Ainsi que je le proclamais récemment dans un article du « Journal », la prostitution est la soupape de sûreté du mariage. — (Alfred NaquetVers l’union libre , 1908)
    • Dans chaque département, l’État a pour mission […] d’exercer toute action médico-sociale en faveur des personnes qui se livrent à la prostitution. — (« Article L121-9 » na Code de l’action sociale et des familles , 2009)
    • Il fut surpris par le spectacle extraordinaire que lui offraient ces lieux où les femmes blanches, jaunes et noires étaient chosifiées à travers le sexe. Dans son pays, la prostitution ne se pratique pas à ciel ouvert. — (Noël-Kodia-Ramatta, Les enfants de la guerre: éteindre le feu par le feu? , éd. Menaibuc, 2005, lêmbëtï 98)

Âlïndïpa

Sepe
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Yângâ tî Sueduäa

Sepe

Pandôo

Sepe

prostitution \sêndagô ?\

  1. pitäan