Yângâ tî Farânzi Sepe

Pandôo Sepe

 
Les Douze Proverbes flamands de Brueghel l'Ancien

proverbe \pʁɔ.vɛʁb\ linô kôlï

  1. mato, tolï
    • Mes enfants, les proverbes que vous voyez au mur de cette classe correspondaient peut-être jadis à une réalité disparue. [...] si bien qu'à notre époque, le mépris des proverbes c'est le commencement de la fortune... — (Marcel PagnolTopaze, IV, 4 , 1928)
    • Ainsi, on peut tirer deux conclusions du proverbe : « mieux vaut laisser son enfant morveux que lui arracher le nez » : la saleté du nez chez un enfant n'est pas très réprouvable ; donc, deuxième conclusion, on peut généraliser cette évidence à d'autres domaines de l'éducation. — (Ethnologie française , éd. G. Maisonneuve et Larose, 1972, vol. 2-3, lêmbëtï 271)
    • Le large éventail parémiologique de cet ouvrage témoigne d'un fait évident : les proverbes coexistent avec d'autres énoncés et formules sentencieuses. Il faut en définir la nature et les distinguer des proverbes. — (Julia Sevilla Munoz, « Les proverbes et phrases proverbiales français, et leurs équivalences en espagnol » na Langages , 2000, 34e année, La parole proverbiale, n° 139, p.100)
    • « En avril, ne te découvre pas d'un fil », songea-t-elle.
      En remarquant un garçon courir dans la rue sans plus de protection qu'un chandail à manches courtes et un jeans coupé, Maggie en conclut, avec un sourire tendre, que ces vieux proverbes étaient plutôt casse-pieds.
      — (Valérie Drouin, La Chatière , Québec Amérique, 2011, chap.4)

Âlïndïpa Sepe

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï