Bâa ngâ : Pupille

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo 1

Sepe

pupille \py.pij\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. nyïndû

Pandôo 2

Sepe

pupille \py.pil\ wala \py.pij\ linô gâlï

  1. (Sêndâ-saterê) mbomalê
    • Cette affection est caractérisée par une sensibilité exagérée de l'œil à la lumière; de là une contraction spasmodique de l’iris, quelquefois avec occlusion complète de la pupille, de sorte que les personnes nyctalopes voient très-bien pendant la nuit, mais cessent de voir pendant le jour. — (Dr Rouault, « De l'emploi de la belladone dans les maladies des yeux » na Journal des connaissances médico-chirurgicales , 1 Fulundïgi 1857, nömörö 3, lêmbëtï 57)
    • On voyait ses yeux noirs briller puis, tout à coup, à la suite d’une dilatation volontaire des pupilles, cet éclat s’amortissait pour se noyer dans la chaude et trouble aimantation des prunelles. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • On eût dit qu’au centre de l’iris bleu pâle, la pupille noire et méchante, pareille à un œil plus petit, le clouait au mur. — (« Moïra » na Julien Green1950, réédition Le Livre de Poche , lêmbëtï 9)

Âlïndïpa

Sepe