Bâa ngâ : Pute

Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

pute \pyt\ linô gâlï

  1. (Na sïönî nî, Tî kamënë) gba-na-mbänä
    • Une pute a de l’honneur car elle sait que, si elle fait ce métier, c’est qu’elle n’a pas le choix. Une pute a plus de respect pour ses clients que toi pour tes coups d’un soir ! — (Jean Yves Le Quéau, La Métamorphose d'une veuve , 2009, lêmbëtï 44)
    • En revanche, les putes des pays baltes étaient indéfendables d’un point de vue économique. Les putes n’apportaient que de l’argent de poche et représentaient avant tout une complication […]. — (Stieg LarssonMillénium 2 : La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette , 2006, Actes Sud, 2011)
    • Les putes sont des femmes qui vous donnent beaucoup de choses pour relativement peu d’argent. — (Michel AudiardGarde à vue , 1981)
    • Les plus militantes avancent à visage découvert, fières d’être putes, revendiquent leur droit à la parole et, face à la stigmatisation, aux injustices, à la répression, à la victimisation, au moralisme et au tabou, elles multiplient les débats et les interventions pour parvenir à exercer leur métier dans les meilleures conditions possibles. — (Jean-Michel CarréTravailleu(r)ses du sexe. et fières de l'être , Le Seuil, 2010, chap. 6)

Âlïndïpa

Sepe