Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

réfectoire \ʁe.fɛk.twaʁ\ linô kôlï

  1. (Kubû) datëngö-kôbe
    • L’équipage en fut informé au réfectoire, où on servait les rations du soir. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 246)
    • Petite et misérable gargote de la rue Sainte-Geneviève où je me nourrissais jadis si mal que j'en ai, quand j'y pense, encore faim, je ne vous oublie pas, ni vous grand réfectoire des pauvres de la place des Deux-Ponts à Lyon, […]. — (Francis Carco, « Maman Petitdoigt » na Revue de Paris , 1922)
    • Nous n’avions pas encore de réfectoire sur notre train. Nous allions prendre nos repas dans une petite maison, près d’une petite gare. — (Alexandre TchakovskiC'était à Léningrad , traduit du russe par Julia et Georges Soria, 1951)
    • L'orphelinat me valut d’apprendre sous d’autres auspices qu’il n’y a pas d’alimentation neutre.(…). Le réfectoire remplaçait la cuisine et les fumets de la maison furent supplantés par les effluves gras et lourds des laboratoires de collectivité. — (Michel OnfrayLe ventre de philosophes , 1989)

Âlïndïpa

Sepe