Yângâ tî Farânzi

Sepe

Palî

Sepe

répliquer \ʁe.pli.ke\ kürü palî

  1. kîri yângâ
    • Les partisans de Maïmonide répliquèrent à l’interdit prononcé par les « littéralistes » en lançant, à leur tour, l’excommunication contre les auteurs de l’interdit. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Il me répondit telle et telle chose, mais je lui répliquai cela et cela.
    • Votre réponse me satisfait, je n’ai rien à y répliquer. Absolument,
  2. kîri tënë
    • Il me faut me fixer un plan de vie, des règles strictes. Par exemple, chaque matin, me lever à sept heures. Ne pas répliquer. On me parle, je sais que j’ai raison, mais je me tais. — (Marcel ArlandTerre natale , 1938, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 200)
    • Ces injurieurs pathologiques, - ou injuromanes - sont aisément reconnaissables, notamment par un détail qui ne saurait échapper à l'observateur averti : jamais il ne répliquent avec à-propos. — (Robert Édouard, Dictionnaire des injures, précédé d'un petit traité d’injurologie , Paris : Claude Tchou éd., 1967, lêmbëtï 234)
    • L’injurieur peut pousser encore plus loin l’outrage en feignant de s'adresser uniquement à ce témoin pour injurier l'autre à la troisième personne, considérant l’injurié comme absent et cherchant à lui enlever ainsi toute possibilité de répliquer. — (Christine Sautermeister, Céline vociférant ou l'art de l'injure , Société d'études céliniennes, 2003, lêmbëtï 8)
    • Sur ce que je lui reprochais, il me répliqua que… Ce qu’il disait était si évident que je ne vis rien à répliquer.
    • Répliquer du tac au tac.
  3. kîti
    • Le général ordonna que l’on fasse répliquer la batterie d’artillerie.

Âlïndïpa

Sepe