Yângâ tî Farânzi

Sepe

Pandôo

Sepe

résignation \ʁe.zi.ɲa.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. (Lâkûê, Zäzämä) kängängö-bê
    • Aussi, devant le danger qu'elles prévoyaient en ce moment, demeurèrent-elles muettes et passives, ne connaissant d'autre défense que la résignation chrétienne. — (Honoré de BalzacUn épisode sous la Terreur , 1853)
    • Elle lut sur le visage presque féminin du jeune anglais les pensées profondes, les mélancolies douces, les résignations douloureuses dont elle-même était la victime. — (Honoré de BalzacLa Femme de trente ans , 1855)
    • Sérieuse et triste comme toujours, enveloppée dans sa résignation et dans son rêve, elle dansait, pour ces hommes dont elle serait la proie dès la fermeture du bouge. — (Isabelle EberhardtYasmina , 1902)
    • Et la rue retomba dans le demi-silence, la torpeur, la résignation qu'une descente de police laisse toujours derrière elle. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • Il y a une sorte d’habitude du désespoir qui s’appelle résignation et cette résignation vient assez vite. — (Julien GreenLe voyageur sur la terre , 1927, Le Livre de Poche, lêmbëtï 73)
    • Il sentait couler dans ses veines toute la sanie des rêves impuissants, des appétences infécondes, et sur son échine s'appesantissait le fardeau de la résignation et de la timidité. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 27)

Âlïndïpa

Sepe